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Annexes
Annexe 3 : les extensions du bus I²C
- Le bus traditionnel permet de communiquer à une vitesse maximale
de 100 Kbits par seconde. Une extension du bus a permis de passer à
400 Kbits par seconde. Les auteurs ont pu tester le bus I²C à une vitesse
encore légèrement supérieure en pilotant la ligne en
logiciel pur, les composants esclaves ont suivi.
- L’adressage sur 7 bits permet en théorie la connexion de 128 composants
sur un même bus. Il est toujours possible de ruser pour connecter en
cascade plusieurs composants en modifiant dynamiquement leur adresse. Ceci
permet d’étendre les possibilités.
- Ce mode d’adressage a connu également des développements.
Des composants répondent maintenant à un mode d’adressage sur
plus de 7 bits.
- le Bus CAN a été développé par Philips Composants.
Beaucoup plus évolué, il est particulièrement bien adapté
à la mise en connexion de plusieurs réseaux I²C locaux entre
eux.
- Régulièrement, de nouveaux composants et microcontrôleurs
incluant l’I²C apparaissent sans arrêt sur le marché, répondant
à des besoins les plus divers : vidéo, sons, mémoires,
téléphonie, HIFI, domotique... On n’a pas fini d’en parler.