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1. Où est le problème ?
2. Communication en série : je vous en mets combien ?
3. L’accusé de réception : Tu m’entends ?
4. Un réseau, des adresses : Qui cause à qui ?
5. Les conditions de départ et de fin
6 . Politesse et multi-maîtres

7. Avantages et inconvénients du bus I²C

Le bus I²C, inventé par Philips Composants est une réussite. Il est très économique, contrairement à ce que tu pourrais croire, facile à utiliser. Il permet de connecter entre eux des modules électroniques éloignés de quelques mètres. De nombreux composants I²C existent, couvrant la plupart des utilisations courantes en électronique.
En revanche, il est assez lent. Il ne vaut mieux pas compter, par exemple, sur la transmission de son numérisé par le bus. Il n’est pas fait pour cela.

A savoir : les données peuvent transiter à la vitesse de 100 Kbits par seconde. Mais il faut savoir que parmi les données qui transitent, la moitié environ sont "utiles". Le reste, ce sont des adresses d’esclaves, des conditions et signaux divers de contrôle de la communication.

 

Dernière_remarque : comme moi, tu t’es peut-être aperçu que les esclaves sont toujours des être féminins et les maîtres des êtres masculins. Que ce soit le hasard ou le fruit d’une tradition phallocratique bien ancrée, tu as le droit de faire les ratures qui s’imposent. Tu peux aussi écrire tes remarques à l’adresse suivante : ld@anstj.mime.univ-paris8.fr. Tu pourras en profiter pour poser tes questions sur le protocole I²C ou sur son utilisation.

A savoir : personne n’est parfait.

Annexes
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