Page perso de Loïc Dayot

La lune manque d’influence sur les humains

dimanche 25 novembre 2007, par Loïc Dayot

Depuis plusieurs années à questionner les uns et les autres, voici enfin des réponses à l’influence (ou plutôt son absence) du satellite lune sur les terriens.

Certaines conversations avec des personnes de mon entourage m’affirmant que les soirs de pleine lune (ou de nouvelle lune, ça dépend des gens), les humains sont plus nerveux, m’ont engagé dans un quête discontinue vers des explications.

la lune
Plusieurs conséquences étaient annoncés : les naissances, la nervosité des enfants et des plus grands, la croissance des plantes. Autant de sujets à explorer.

Je ne voyais que quelques raisons possibles :
 la gravitation : difficile de croire qu’on puisse être sensible à cela ; on bouge, on est allongé, débout, notre masse est minime...
 le rayonnement électro-magnétique (ie la lumière) : il est considérablement plus faible que celui du soleil. Les longueurs d’ondes (ou couleurs) sont réparties différemment, mais de toute façon en si faible quantité...

Je suis enfin tombé sur un site ou deux qui expliquent en pourquoi l’influence réelle n’existe pas, et aussi pourquoi beaucoup de gens y croient. Voici ces liens (que je réplique ici car les liens internes ne fonctionnent pas bien) :
 La lune provoque des insomnies Ce problème m’a empêché de dormir toute la nuit.
 Il y a plus de délinquance les soirs de pleine lune Oh ! Douce nuit !
 Accouchements et pleine lune
 La Lune Rousse "Lune rousse sur la semence aura toujours mauvaise influence".
 La lune décolore le linge ou les rideaux La lune blême ne fait pas pâlir !
 Pleine lune et urgences La pleine lune n’influence pas les urgences psychiatriques
 La lune et ses effets supposés

Bonne lecture.

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre message

Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.